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xiàngfǎ (loi de ressemblance, 像法, zōhō, pratirūpaka dharma)
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xiànxián sānbǎo (trois trésors manifestes, 現前三寶, genzen sanpō)
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xiànxiándì (présence, 現前地, genzenji, abhimukhi)
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Xiangsi (相思, Xiāngsī) :
dates incertaines, femme qui aurait vécu en Chine à l’époque des Royaumes combattants (-Ve ~ -IIIe siècle). Citée par Nichiren dans la Réponse à dame nonne Myōshin, selon ce texte, elle serait morte éplorée sur la tombe de son mari et ensuite un arbre aurait poussé là que l’on appelle depuis du nom de cette veuve, Pensée des Apparences (cf. Acacia confusa).
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xiāngsìjí (identité de ressemblance, 相似即, sōïsoku)
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xiāngyìng (concordance, 相應, sōō, yukta)
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xiānyè (actes anciens, 先業, sengō, purva karman)
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xiànzhèng (preuve actuelle, 現證, genshō) : voir trois preuves.
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Xiǎochéng (Petit Véhicule, 小乘, Shōjō, Hīnayāna)
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xiàzhǒng (semence déposée, 下種, geshu, viropaṇa)
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xiéshì (servants, 脇士, kyōji)
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Xǐgēn (Racines d’Allégresse, 喜根, Kikon)
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xíngdào (progresser sur la voie, 行道, gyōdō)
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xíngfǎ (pratique de la loi, 行法, gyōbō)
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Xìnjiě pǐn (Croire et comprendre, 信解品, Shinge hon) :
IVe chapitre du Sūtra du lotus.
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xíngxiàng (aspect du mouvant, 行相, gyōsō)
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xīnxíng (actes psychiques, 心行, shingyō)
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xiūxíng (ascèse, 修行, shugyō)
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xiūxué (étude rigoureuse, 修學, shūgaku)
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Xuanzang (玄奘, Xuánzàng) (600 - 664) :
également appelé Chen Xuanzang (陳玄奘), Maître de la loi Trois-Corbeilles, souvent abrégé en Trois-Corbeilles (三藏, Sānzàng, Tripiṭaka) – c’est d’ailleurs sous ce nom qu’il est désigné dans le roman La Pérégrination vers l’Ouest -. Voyageur pélerin et traducteur chinois, probablement l’un des plus célèbres.
De son nom laïc Chen Hui. Natif de Zhenliu (actuel Kaifeng) et issu d’une famille de mandarins, il a un frère aîné qui appartient au clergé bouddhique. Après des études à Loyang puis Changan (Xian) il entre dans les ordres à vingt-deux ans. Désireux de rapporter des sūtra et des enseignements de l’Inde il adresse une requête en ce sens à l’empereur qui refuse d’accéder à sa demande. Malgré l’interdiction impériale il part pour l’Inde et accomplit un périple immense qui de la Chine centrale, le mène en Asie centrale puis dans le nord de l’Inde aux lieux saints du bouddhisme. Le récit passionnant de son voyage est consigné dans son Xīyóujì (西遊記) traduit en français par Catherine Meuwese dans L’Inde du Bouddha, Calmann-Lévy 1968. Ce périple dure seize ans et il revient en Chine avec une connaissance profonde des enseignements bouddhiques et une cargaison de manuscrits. Il a également acquis une solide réputation d’orateur due aux nombreux débats qu’il a engagés avec les maîtres indiens. Il est fêté par la cour impériale qui lui fait construire un monastère et lui adjoint une équipe de traducteurs. Il se lance dans des activités prolifiques de traduction et d’enseignement. Sa renommée touche toute la Chine mais aussi la Corée et le Japon, de nombreux étudiants viennent recevoir son enseignement.
Il traduit non seulement les textes fondamentaux de l’école du Yogacara à laquelle il adhère mais aussi ceux d’autres courants : des sūtra du Grand Véhicule, des Abhidharma, des sūtra de la prajñā et des textes des logiciens bouddhistes. On lui doit notamment les traductions en chinois encore utilisées de nos jours du Sūtra du diamant et du Sūtra du cœur. L’enseignement et les traductions de Xuanzang représentent le dernier apport significatif de l’Inde bouddhique dans la culture chinoise. Les corrections qu’il a apportées aux anciennes versions des sūtra, la qualité de son érudition et la connaissance qu’il avait des écoles indiennes ont permis de préciser et d’apurer le canon bouddhique. Il écrit des traités et des commentaires (notamment son célèbre commentaire des Trente strophes de Vasubandhu) jusqu’à sa mort en 664.
Un des plus fameux classiques de la littérature chinoise le Xīyóujì écrit par Wu Cheng’en au seizième siècle nous présente le voyage de Xuanzang sous des couleurs fantasques et drolatiques. Il a été traduit en français par A. Lévy sous le titre La Pérégrination vers l’Ouest (Gallimard 1991).
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Xūdá (Sudatta, 須達, Shudatsu)
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Xudeyan (徐徳言) : voir Seigneur de Chen.
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Xuěshān tóngzǐ (Garçon des Monts enneigés, 雪山童子, Sessen dōji)
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Xūkōngzàng púsà (bodhisattva Corbeille de Vacuité-Totale, 虛空藏菩薩, Kokūzō bosatsu, Ākāśa garbha)
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Xūmíshān (Sumeru [mont], 須弥山, Shumisen)
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Xù pǐn (Prologue, 序品, Jo hon) :
chapitre I du Sūtra du lotus.
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Xūpútí (Subhūti, 須菩提, Shubodai)
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