Remarques : |
On distingue nettement des traces de plis, ce qui laisse à penser que ce type de honzon était plié afin d'être porté sur celui à qui il était conféré. De ce fait, il s'agirait d'un Omamori gohonzon (talisman personnel).
Ce gohonzon fait partie d'une série appelée les cent gohonzon de Sado (佐渡百幅の御本尊, Sado hyakufuku no gohonzon). Cela signifie-t-il que Nichiren aurait inscrit cent gohonzon durant son exil dans cette île ? Ce n'est pas certain. Plusieurs autres gohonzon de cette même période sont par leurs dimensions et leur contenu très proches, notamment les #3a et #3b, les #4, #5, #6, #7 et #25 ; le #2 également présente des similitudes.
Le temple Myōrenji à Kyōto où ce gohonzon est conservé, abrite également dans ses collections les mandala #2 et #98.
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